Of Legendary's Reborn

Of Legendary's Reborn Siberian Husky

Siberian Husky

Et sa santé ?

Et sa santé ?

La dysplasie de la hanche

La dysplasie de la hanche

La dysplasie coxo-fémorale est définie, de manière officielle comme un « trouble du développement de la hanche engendrant une instabilité de cette articulation ».

Suite aux travaux de G. SMITH et de son équipe à l’université Vétérinaire de Pennsylvanie (années 1990 et suivantes), on sait que tout repose sur l’existence d’une laxité anormale (hyperlaxité) de l’articulation coxo-fémorale.

Dans certains cas, cette hyperlaxité peut être compensée, lorsque l’animal se déplace, par l’action de la musculature fessière, qui recentre les têtes fémorales au fond des acetabulum.

On parle alors d’hyperlaxité passive.

Pour la mettre en évidence de manière systématique sur les radiographies, il faut utiliser des procédés particuliers (« radiographies en position forcée, sous anesthésie générale »).

L’animal atteint ne subira pas forcément de déformations osseuses ou de processus arthrosique grave. Il va cependant transmettre à sa descendance son hyperlaxité coxo-fémorale.

Parmi les descendants, la « compensation » de l’anomalie n’est pas systématique.

Dans le cadre de la sélection, l’hyperlaxité passive devrait donc être considérée comme un élément péjoratif, au même titre que la laxité active. Dans d’autres cas, l’hyperlaxité n’est pas compensée par la musculature fessière, et elle persiste lors de la locomotion. On parle alors de laxité active.

Cette dernière débouche, à plus ou moins long terme, sur des anomalies structurelles (déformations osseuses et lésions articulaires) et sur un processus arthrosique.



Le dépistage officiel



Il est uniquement radiographique, et concerne des chiens qui ont terminé leur croissance. L’âge minimal varie de 12 à 16 mois en fonction des clubs pour les chiens de taille « standard », il est généralement de 18 mois chez les races géantes. L’animal est en décubitus dorsal, le bassin bien de face. Les membres postérieurs sont tirés vers l’arrière, parallèles entre eux et avec la colonne vertébrale, les rotules sont « au zénith ». Le cliché doit être identifié dans l’émulsion. Une attestation engageant la responsabilité du vétérinaire quant au contrôle du tatouage ou de l’identification électronique doit être rédigée. Elle doit préciser les conditions de réalisation (anesthésie générale, sédation, animal « vigile ») de la radiographie. La lecture s’effectue par un vétérinaire, désigné par le club de race, qui devient le lecteur « agréé »pour la race concernée. On peut reprocher au procédé standard un certain nombre d’imperfections :


  •  l’âge officiel du dépistage fait peser un risque de non-détection des DCF susceptibles de se développer jusqu’à l’âge de 2 (voire 3 ?) ans. Il serait donc souhaitable, pour les reproducteurs de valeur de « confirmer »le résultat un an plus tard (notamment pour les sujets cotés « B »...). 

  • l’existence d’une hyperlaxité sans modification des profils articulaires risque d’être masquée sur le cliché standard. Ceci est d’autant plus vrai si le cliché est effectué sur un animal non anesthésié (on observe depuis quelques années une inflation inquiétante du nombre de radiographies effectuées sans anesthésie. Dans la plupart des autres pays européens, cette manière de procéder est assimilée à un processus de fraude) Un certain nombre de chiens qualifiés de « normaux » sont donc dysplasiques (certains auteurs avancent le chiffre de 20% de « faux négatifs » parmi les sujets notés « A »), certains stades de dysplasie sont peut-être sous évalués... 

  • les erreurs de positionnement jouent un rôle plus ou moins important sur l’appréciation portée par le lecteur. En fonction de l’expérience de ce dernier, le problème sera pris en compte (rejet éventuel du film) ou ne le sera pas. 

  • au plan de la lutte contre l’affection, la prise en compte du seul résultat individuel de la cotation radiographique, compte tenu des éléments cités plus haut, est assez peu « discriminante ». Ceci explique la lenteur des progrès observés au sein des races les plus atteintes, d’autant que le stade « C » est accepté par beaucoup de clubs pour la reproduction. En France, après examen du cliché, l’animal est placé dans l’une des cinq catégories de la classification FCI (circulaire du 10/04/92). Le lecteur examine la position de la tête fémorale dans la cavité acétabulaire (centrage, coaptation, couverture), l’aspect de l’interligne articulaire (pincement éventuel en zone dorso-latérale), la qualité du rebord acétabulaire cranial , l’importance du recouvrement dorsal, les éventuels remaniements arthrosiques secondaires, et la valeur de l’angle de Norberg-Olsson qui permet de juger de l’importance de la sub-luxation (= du déplacement latéral de la tête fémorale hors de l’acetabulum). 



Les différents stades de la dysplasie



  • stade A = aucun signe de dysplasie : parfaite coaptation entre la tête du fémur et l’acétabulum. Angle de Norberg-Olsson au moins égal à 105°. 

  • stade B = état sensiblement normal : correspond à deux possibilités: soit une coaptation de bonne qualité avec un angle de Norberg-Olsson compris entre 100 et 105°, soit une coaptation imparfaite, avec un angle de Norberg-Olsson supérieur à 105°. 

  • stade C = dysplasie légère : coaptation imparfaite, avec un angle de NorbergOlsson compris entre 100 et 105°. Présence éventuelle de légers signes d’arthrose sur l’acetabulum, le col ou la tête fémorale. 

  • stade D = dysplasie moyenne : mauvaise coaptation et angle de NorbergOlsson compris entre 90 et 100°. Modifications possibles du rebord acétabulaire craniolatéral et/ou signes d’arthrose . 

  • stade E = dysplasie sévère : sub-luxation ou luxation articulaire, angle de Norberg-Olsson inférieur à 90°, possibilité éventuelle de modifications arthrosiques majeures .


Les MHOC (maladies héréditaires oculaires canines)

Les MHOC (maladies héréditaires oculaires canines)

Liste des vétérinaires ophtalmologistes officiels pour le dépistage de MHOC : ICI



Le club de race SHF ou bien certains éleveurs responsables demandent à ce que les animaux de race destinés à être reproducteurs, ou non passent un examen des yeux. Cet examen permet de détecter les maladies oculaires à potentiel héréditaire qui pourraient compromettre la qualité d’une lignée ou conduire à la production de chiens atteints, soit de maladie douloureuse pour l’œil, soit de maladie rendant aveugle.



Le vétérinaire ophtalmologiste habilité pour cet examen MHOC, va rechercher les anomalies des paupières, de la cornée, du cristallin, du système d’évacuation de l’humeur aqueuse ou de la rétine qui sont typiquement héréditaires.



Cet examen est réalisé en salle de consultation avec le maître sur un animal vigile.

Le vétérinaire examine, avec un biomicroscope (système grossissant avec une loupe), le segment antérieur (paupières, conjonctives, cornée, iris), puis il réalise une mesure la sécrétion lacrymale et celle de la pression intraoculaire (tonométrie). Puis il réalise une gonioscopie (analyse de l’angle irido-cornéen et du ligament pectiné).




Il met, à la fin de ce premier examen des gouttes sur chaque œil pour dilater les pupilles.

Le propriétaire attend ensuite 10 à 15 minutes en salle d’attente que les pupilles de son chien se dilatent.

Le vétérinaire examine enfin, avec un ophtalmoscope indirect, le cristallin et le fond d’œil, ce que l’on appelle le segment postérieur.



Si une anomalie est détectée, le vétérinaire peut éventuellement proposer des examens complémentaires comme l’échographie, la tomographie en cohérence optique ou l’électro-rétinographie.



Selon que le chien ne présente pas d’anomalie oculaire ou qu’une anomalie héréditaire ou supposée héréditaire est détectée, le vétérinaire indique sur le certificat que le chien est indemne ou atteint.

Quand un chien est atteint d’une anomalie oculaire héréditaire, c’est le propriétaire du chien (si le club n’a pas pris de mesure pour cette anomalie) ou bien le Club de race qui décide d’autoriser la reproduction. Le vétérinaire a bien sûr un rôle de conseil.

Certaines anomalies discutables peuvent faire l’objet d’un nouvel examen après plusieurs mois.



Un test génétique permet de détecter une mutation pouvant déclencher une seule maladie oculaire dans une race donnée. Un examen oculaire MHOC permet de détecter une maladie oculaire potentiellement héréditaire pour laquelle le test génétique n’existe pas ou n’est pas fiable.


 

L'APR (atrophie progressive de la rétine)

L'atrophie rétinienne progressive, c'est quoi?



L'atrophie rétinienne progressive est une maladie oculaire caractérisée par la dégénérescence progressive des cellules (cônes et bâtonnets) formant la rétine. Ces cellules sont sensibles à la lumière et leur dégénérescence peut faire diminuer la vue, possiblement jusqu'à la cécitéL'APR existe sous plusieurs formes en fonction de la race du chien et évolue jusqu'à une perte de la vision nocturne puis diurne. Une cataracte peut apparaître : il s’agit d’une opacification partielle ou totale du cristallin, gênant ainsi la vue.



Les causes et la transmission de l'APR

                   


L'atrophie rétinienne progressive chez le chien est une maladie purement héréditaire et récessive. Le chien n'est atteint que lorsque ses deux parents sont porteurs du gène de la maladie et les lui transmettent. Nous distinguons les "porteurs sains" (le chien a un gène de la maladie qui ne s'exprime pas et il reste donc indemne) et les "porteurs atteints" (le chien porte les deux gènes de la maladie, l’un hérité de sa mère et l’autre de son père et par conséquent la maladie se manifeste).



Les symptômes de l'APR



L'APR se manifeste par une baisse de la vision, se manifestant dans un premier temps dans la pénombre. En effet, comme expliqué ci-dessus, l’ARP atteint notamment les bâtonnets, qui entrent en dégénérescence. Or, ces structures sont des cellules photosensibles servant à capter la lumière et donc à voir lorsque la luminosité est faible. Le chien atteint se cogne parfois aux objets ou aux murs. La vision se dégrade petit à petit et entraîne des difficultés de déplacement. Les pupilles se dilatent et deviennent brillantes avec une couleur verte-orangée. Une cataracte est probable dans certains cas avancés.

Le pire des conséquences de cette maladie est la cécité. Cependant, un chien atteint de l'atrophie rétinienne progressive ne sera pas privé d'une vie heureuse. Il s'habituera progressivement à son handicap et développera davantage ses autres sens pour compenser la perte de sa vue.



Diagnostic et traitement



Le diagnostic de l'atrophie rétinienne progressive se fait le plus souvent à partir d'un simple test de dépistage.

Actuellement, il n' y a pas de traitement efficace qui permette de remédier à cette atteinte. Cependant, les recherches se tournent actuellement vers une thérapie génique qui pourrait porter ses fruits.

La cataracte

La cataracte

Les cataractes : Les cataractes sont le problème de l'oeil le plus courant chez le husky sibérien.

Il s'agit d'une perte de transparence du cristallin (membrane transparente située derrière l'iris) de l'oeil, celui-ci apparaît alors blanc et opaque. Les cataractes peuvent mener à la cécité. On distingue par contre les cataractes juvéniles qui apparaissent tôt chez le chien mais qui mènent plus rarement à la cécité.

Le seul traitement possible pour les cataractes est l'extraction chirurgicale du cristallin.



Les causes de cataracte :

Il existe plusieurs causes à l’origine de la cataracte chez nos compagnons poilus. Il peut s’agir d’une cataracte :

Sénile (chez nos p’tits vieux)

Elle touche les chats âgés d’environ 12 ans et les chiens de 8 ans et plus. Dans ce cas, l’affection est associée au vieillissement du cristallin. L’évolution est progressive en quelques mois voire quelques années. L’atteinte est bilatérale autrement dit les 2 yeux sont touchés.

Héréditaire :  (cause la plus fréquente de cataracte chez le chien).

Elle ne se manifeste pas dès la naissance mais principalement chez des jeunes animaux. L’atteinte peut être différente pour chaque œil avec parfois un cristallin plus atteint que l’autre.

Secondaire à un diabète

Les 2 yeux sont alors atteints et l’évolution de la cataracte peut être très brève (en quelques jours) et à l’origine d’une uvéite.

Congénitale

L’affection est associée à une anomalie qui a lieu au cours du développement de l’embryon. L’animal présente alors une cataracte dès la naissance.

A la suite d’un traumatisme de l’œil.

Secondaire à une inflammation des structures internes de l’œil (uvéite).



traitements

Gestion médicale de la cataracte

Des traitements médicamenteux pour soigner la cataracte existent. Ils contribuent à retarder la dégradation du cristallin mais leur efficacité est variable. Dans tous les cas, ils ne permettent pas de guérison. Ils sont souvent utilisés dans les stades les moins avancés, lors de cataracte sénile ou à défaut de chirurgie. Ils se présentent sous formes de comprimés ou de collyres.

Chirurgie de la cataracte chez un chien ou  un chat

La chirurgie reste le meilleur moyen de traiter la cataracte du chien ou du chatElle est pratiquée par des vétérinaires spécialisés en ophtalmologie. Cette intervention permet à votre compagnon de retrouver une bonne vision rapidement même en cas d’évolution sévère.

Il s’agit d’une chirurgie ambulatoire (sortie de l’animal le jour même de l’intervention) réalisée sous anesthésie générale. Vous déposez votre animal le matin à la clinique et vous pouvez le récupérer en fin de journée la plupart du temps (en dehors de toute complication ou nécessité propre à votre animal).L’acte chirurgical est réputé pour être peu douloureux car le cristallin est une structure anatomique peu innervée (avec peu de nerfs).

Avant la chirurgie

Le vétérinaire réalise un bilan pré-opératoire pour évaluer le risque lié à l’anesthésie et juger si votre chien ou votre chat peut être opéré. Celui-ci comprendra très certainement :


  • Un examen clinique complet de votre animal.

  • Un examen ophtalmologique complet des 2 yeux.

  • Une possible prise de sang pour s’assurer du bon fonctionnement de certains organes et limiter ainsi les risques liés à l’anesthésie.


IMPORTANT à Comprendre Lors de l’examen ophtalmologique, le vétérinaire vérifie si les structures de l’œil fonctionnent correctement. Plus particulièrement, il « testera » le fonctionnement de la rétine de votre chien ou de votre chat. Un examen électrorétinographique et une échographie de l’œil sont ainsi pratiqués. En effet, si la rétine, qui permet de « capter les images » ne fonctionne plus, la chirurgie, à moins d’autres raisons liées au confort, ne servira à rien en ce qui concerne la récupération visuelle !

Déroulement de l’intervention

La technique chirurgicale la plus utilisée actuellement est la phaco-émulsification. Au cours de l’intervention, le chirurgien fractionne le cristallin opacifié par l’utilisation d’ultrasons, les fragments sont ensuite aspirés. Puis, le vétérinaire injecte, dans certains cas, à la place du cristallin un implant artificiel. Les rayons de lumière peuvent ainsi atteindre la rétine. Le chirurgien jugera si un implant est nécessaire. Ce dernier permet à l’animal de retrouver une vue parfaite mais peut être contre-indiqué dans certains cas. Le vétérinaire ne vous proposera pas systématiquement la mise en place d’une lentille artificielle pour votre animal. Avec cette technique, l’incision chirurgicale est très réduite (quelques millimètres) par rapport aux anciennes techniques pratiquées. Le geste opératoire est ainsi plus rapide et la cicatrice plus petite. Le chirurgien peut ainsi opérer les 2 yeux en une fois et la durée d’intervention reste comprise entre vingt et trente minutes par œil.



L’opération de la cataracte chez le chien ou le chat se réalise grâce à un microscope chirurgical.



La phacoemulsification (destruction et aspiration du cristallin) permet de dégager la vue du chien ou du chat.

Après la chirurgie

A RESPECTER IMPÉRATIVEMENT

L’animal doit porter une collerette tout au long de la journée et même la nuit pendant minimum 1 semaine

Elle est normalement assez bien tolérée par nos compagnons domestiques. A ne pas négliger car il est impératif que votre chien ou votre chat ne puisse pas gratter l’œil ou les yeux opéré(s).Des collyres à base d’antibiotiques et d’anti-inflammatoires seront à instiller pendant environ 2 mois. Un collyre à base d’atropine peut également être prescrit par le vétérinaire pendant 7 jours et des médicaments anti-inflammatoires par voie orale pendant quelques jours. Le vétérinaire vous montrera comment appliquer un collyre dans l’œil de votre animal. Il s’agit d’un geste relativement facile à réaliser et assez bien toléré par les animaux. Un petit coup de main facile à prendre ! Lorsqu’on se lance dans ce type de soins, il est IMPÉRATIF de suivre les conseils de votre vétérinaire afin que tout se passe au mieux et rentre dans l’ordre au plus vite !Votre implication est PRIMORDIALE !

Prix de l’opération de la cataracte chez un chien ou un chat

Le coût d’un chirurgie traitant la cataracte, effectuée par un vétérinaire spécialisé, est d’environ 1300 euros par œil (consultation, anesthésie et bilan pré-opératoire compris) auquel il faut rajouter entre 200 et 250 euros pour la mise en place d’un implant. Une chirurgie des 2 yeux coûte entre 1800 et 2300 euros (sans implant).Le but ici est de vous donner une idée de prixLes tarifs peuvent varier en fonction des besoins spécifiques de votre animal ainsi que d’une clinique parisienne à un cabinet de province (chaque structure ne supportant pas les mêmes coûts).

Pronostic lié à la cataracte du chien ou du chat

Sans rien faire ou en agissant tardivement lorsque la cataracte est en place, il y a de fortes probabilités de perte de vision et de complications douloureuses pour votre animal. C’est pourquoi il est vivement recommandé d’en parler à votre vétérinaire dès les premiers signes !

Les résultats de la chirurgie sont très bons et votre chien ou chat récupérera un confort visuel rapidement. Il faut également savoir qu’une intervention précoce augmente les chances de réussite. La réactivité paye toujours en médecine !Les complications suite à l’intervention restent rares. Elles peuvent se manifester sous la forme d’une uvéite, d’un déplacement de l’implant, d’un glaucome, d’un décollement de la rétine, d’une hypertension, d’une infection ou encore d’un œdème de la cornée.

Un suivi post-opératoire est donc indispensable et se fera avec votre vétérinaire et/ou le vétérinaire spécialisé en ophtalmologie. Un type de suivi peut vous proposer des contrôles 8 à 10 jours, 1 mois, 3 mois puis 6 mois après l’intervention. Ne les prenez pas à la légère même si tout vous semble se passer au mieux !

Comme vous le voyez, la cataracte de votre animal (chien ou chat) n’est pas une pathologie à prendre à la légère. Afin d’éviter les complications, une prise en charge rapide est recommandée. Parlez en dès que vous avez un doute à votre vétérinaire qui saura vous conseiller au mieux. Une fois détectée, la meilleure solution restera la chirurgie du cristallin dont le prix est, certes, élevé mais qui permet de rendre son confort à votre boule de poils.

 

L'anomalie du ligament péctiné (Goniodysplasie)

 Il s'agit d'un défaut du ligament pectiné qui peut causer le glaucome.

Glaucome

Le glaucome est une augmentation de la pression à l'intérieur de l'oeil. Il s'agit d'une grave affection de l'oeil qui doit être traitée rapidement en raison de la forte douleur et des risques de lésions au nerf optique. Les principaux symptômes du glaucome sont une augmentation du volume de l'oeil, une pupille très dilatée (elle semble entièrement noire), le blanc de l'oeil qui devient rouge et une forte douleur (changement de comportement du chien, inconfort notable, etc.).

Le traitement du glaucome se fait à l'aide de collyres spécifiques mais l'intervention chirurgicale peut être nécessaire.